Beate, Arno, Serge et le professeur Billig au procès en appel de Beate à Berlin pour la gifle (février 1969)
Beate et son dossier de documents sur le passé nazi du Chancellier Kiesinger en 1967 quand elle l’exposait dans les universités allemandes
Beate à Berlin avec les étudiants allemands de l’opposition extra-parlementaire (avril 1968)
Romans-Petit, compagnon de la Libération, avec Beate, la félicitant
Beate et Ita-Rosa Halaunbrenner enchaînées à un banc en plein centre de La Paz devant le bureau de Barbie (mars 1972)
Beate, Serge, Arno (7 ans) manifestant à Chambery, ville de Touvier, pendant l’été 1972 pour y protester contre la grâce accordée au milicien par le Président Pompidou
Beate
Arrivée de Beate à Perpignan en 1972 pour y donner une conférence
Beate et Fortunée Benguigui manifestant en septembre 1971 devant le Palais de Justice de Munich pour obtenir l’annulation du non lieu accordé à Barbie en juin 1971
Beate apposant illégalement les drapeaux des deux Etats allemands au siège des Nations-Unies à Genève en réclamant leur entrée à l’ONU
Au Gala de la LICA avec Johnny Halliday. Dans la salle Beate, Serge, Pierre-Bloch, Elisabeth Taylor, Lisa Minelli…
Beate reçue par M. Thinert, maire d’Orléans au printemps 1973 et défilant dans les rues d’Orléans
Beate accompagnée de sa belle-mère Raya et enceinte de Lida
Beate et Ita-Rosa Halaunbrenner donnant une conférence de presse à La Paz (mars 1972)
Retour de Beate de La Paz à l’aéroport d’Orly mars 1972 après son second voyage en Bolivie
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Beate et Alain Poher président du sénat en 1978
Arrestation volontaire de Serge en octobre 1972 à Bonn au cours d’une conférence de presse où il révèle que le capitaine SS Heinrich Illers, chef de la gestapo de Paris en 1943 n’est autre que le Dr Heinrich Illers, président de chambre au tribunal des affaires sociales du Land de Basse-Saxe et spécialiste des dossiers de victimes de guerre
Manifestation contre le verdict du procès de Cologne en juillet 1974 : le 10 juillet à Paris devant l’ambassade allemande des milliers de personnes acclament Beate
Devant l’ambassade allemande à Paris en mai 1974, Raya, Serge, Arno en route pour manifester
Beate arrêtée, la résidence de l’ambassadeur allemand, rue de Lille est taguée (mai 1974) pendant l’emprisonnement de Beate
Manifestation contre le verdict du procès de Cologne en juillet 1974 : le 10 juillet à Paris devant l’ambassade allemande des milliers de personnes acclament Beate
Manifestation contre le verdict du procès de Cologne en juillet 1974 : le 10 juillet à Paris devant l’ambassade allemande des milliers de personnes acclament Beate
Manifestation contre le verdict du procès de Cologne en juillet 1974 : le 10 juillet à Paris devant l’ambassade allemande des milliers de personnes acclament Beate
Manifestation contre le verdict du procès de Cologne en juillet 1974 : le 10 juillet à Paris devant l’ambassade allemande des milliers de personnes acclament Beate
Manifestation contre le verdict du procès de Cologne en juillet 1974 : le 10 juillet à Paris devant l’ambassade allemande des milliers de personnes acclament Beate
Au sommet des Etats arabes à Rabat en octobre 1974 est arrêtée en distribuant des tracts réclamant la paix entre les Etats arabes et Israël (et 28,29,30)
Un des retours de Berlin de Beate
Arrestation volontaire de Serge en octobre 1972 à Bonn au cours d’une conférence de presse où il révèle que le capitaine SS Heinrich Illers, chef de la gestapo de Paris en 1943 n’est autre que le Dr Heinrich Illers, président de chambre au tribunal des affaires sociales du Land de Basse-Saxe et spécialiste des dossiers de victimes de guerre
Arrestation volontaire de Serge en octobre 1972 à Bonn au cours d’une conférence de presse où il révèle que le capitaine SS Heinrich Illers, chef de la gestapo de Paris en 1943 n’est autre que le Dr Heinrich Illers, président de chambre au tribunal des affaires sociales du Land de Basse-Saxe et spécialiste des dossiers de victimes de guerre
Arrestation volontaire de Serge en octobre 1972 à Bonn au cours d’une conférence de presse où il révèle que le capitaine SS Heinrich Illers, chef de la gestapo de Paris en 1943 n’est autre que le Dr Heinrich Illers, président de chambre au tribunal des affaires sociales du Land de Basse-Saxe et spécialiste des dossiers de victimes de guerre
Arrestation volontaire de Serge en octobre 1972 à Bonn au cours d’une conférence de presse où il révèle que le capitaine SS Heinrich Illers, chef de la gestapo de Paris en 1943 n’est autre que le Dr Heinrich Illers, président de chambre au tribunal des affaires sociales du Land de Basse-Saxe et spécialiste des dossiers de victimes de guerre
Arrestation volontaire de Serge en octobre 1972 à Bonn au cours d’une conférence de presse où il révèle que le capitaine SS Heinrich Illers, chef de la gestapo de Paris en 1943 n’est autre que le Dr Heinrich Illers, président de chambre au tribunal des affaires sociales du Land de Basse-Saxe et spécialiste des dossiers de victimes de guerre
Arrestation volontaire de Serge en octobre 1972 à Bonn au cours d’une conférence de presse où il révèle que le capitaine SS Heinrich Illers, chef de la gestapo de Paris en 1943 n’est autre que le Dr Heinrich Illers, président de chambre au tribunal des affaires sociales du Land de Basse-Saxe et spécialiste des dossiers de victimes de guerre
Arrestation volontaire de Serge en octobre 1972 à Bonn au cours d’une conférence de presse où il révèle que le capitaine SS Heinrich Illers, chef de la gestapo de Paris en 1943 n’est autre que le Dr Heinrich Illers, président de chambre au tribunal des affaires sociales du Land de Basse-Saxe et spécialiste des dossiers de victimes de guerre
Arrestation volontaire de Serge en octobre 1972 à Bonn au cours d’une conférence de presse où il révèle que le capitaine SS Heinrich Illers, chef de la gestapo de Paris en 1943 n’est autre que le Dr Heinrich Illers, président de chambre au tribunal des affaires sociales du Land de Basse-Saxe et spécialiste des dossiers de victimes de guerre
Arrestation volontaire de Serge en octobre 1972 à Bonn au cours d’une conférence de presse où il révèle que le capitaine SS Heinrich Illers, chef de la gestapo de Paris en 1943 n’est autre que le Dr Heinrich Illers, président de chambre au tribunal des affaires sociales du Land de Basse-Saxe et spécialiste des dossiers de victimes de guerre
Arrestation volontaire de Serge en octobre 1972 à Bonn au cours d’une conférence de presse où il révèle que le capitaine SS Heinrich Illers, chef de la gestapo de Paris en 1943 n’est autre que le Dr Heinrich Illers, président de chambre au tribunal des affaires sociales du Land de Basse-Saxe et spécialiste des dossiers de victimes de guerre
Les autocars allemands sont tagués : « Libérez Beate »
Les autocars allemands sont tagués : « Libérez Beate »
Les autocars allemands sont tagués : « Libérez Beate »
Les autocars allemands sont tagués : « Libérez Beate »
Arrestation de Beate à l’intérieur du camp de Dachau, le jour de Yom Hashoah après que Beate ait informé la police allemande qu’elle s’y trouvait
Arrestation de Beate à l’intérieur du camp de Dachau, le jour de Yom Hashoah après que Beate ait informé la police allemande qu’elle s’y trouvait
Arrestation de Beate à l’intérieur du camp de Dachau, le jour de Yom Hashoah après que Beate ait informé la police allemande qu’elle s’y trouvait
Au sommet des Etats arabes à Rabat en octobre 1974 est arrêtée en distribuant des tracts réclamant la paix entre les Etats arabes et Israël
Au sommet des Etats arabes à Rabat en octobre 1974 est arrêtée en distribuant des tracts réclamant la paix entre les Etats arabes et Israël
Au sommet des Etats arabes à Rabat en octobre 1974 est arrêtée en distribuant des tracts réclamant la paix entre les Etats arabes et Israël
Beate à son retour de Damas en janvier 1974 à la tribune d’une réunion en faveur des Juifs de Syrie
Beate à son retour de Damas en janvier 1974 à la tribune d’une réunion en faveur des Juifs de Syrie
Beate à son retour de Damas en janvier 1974 à la tribune d’une réunion en faveur des Juifs de Syrie
Beate accueillie par ses chiens cockers, Petia et Iantar à son retour à Paris après sa libération (mai 1974)
Beate, Serge et Julien Aubart au Parlement allemand le jour du vote sur la ratification de la convention franco-allemande permettant de juger en Allemagne les criminels nazis ayant opéré en France. La loi a été votée et a pris le nom de « Lex Klarsfeld »
Beate, Serge et Julien Aubart au Parlement allemand le jour du vote sur la ratification de la convention franco-allemande permettant de juger en Allemagne les criminels nazis ayant opéré en France. La loi a été votée et a pris le nom de « Lex Klarsfeld »
Beate, Serge et Julien Aubart au Parlement allemand le jour du vote sur la ratification de la convention franco-allemande permettant de juger en Allemagne les criminels nazis ayant opéré en France. La loi a été votée et a pris le nom de « Lex Klarsfeld »
Beate, Serge et Julien Aubart au Parlement allemand le jour du vote sur la ratification de la convention franco-allemande permettant de juger en Allemagne les criminels nazis ayant opéré en France. La loi a été votée et a pris le nom de « Lex Klarsfeld »
Beate, Serge et Julien Aubart au Parlement allemand le jour du vote sur la ratification de la convention franco-allemande permettant de juger en Allemagne les criminels nazis ayant opéré en France. La loi a été votée et a pris le nom de « Lex Klarsfeld »
Beate, Serge et Julien Aubart au Parlement allemand le jour du vote sur la ratification de la convention franco-allemande permettant de juger en Allemagne les criminels nazis ayant opéré en France. La loi a été votée et a pris le nom de « Lex Klarsfeld »
Beate et les dirigeants du Congrès Juif Mondial à l’époque où Bronfman en était le président : Israël Singer et …. Elle a mené avec eux et sur le terrain l’affaire Kurt Waldheim