Il y a toujours eu parmi les FFDJF, d’anciens déportés tels que Julien Aubart, Henri Wolff, Henri Pudeleau, Milo Adoner, André Levy, Charles Baron, Maxi Librati, Jo Wajsblatt, Claude Bloch et Henri Zajdenwergier pour ne citer que les hommes et parmi les déportées, Simone Veil, Denise Holstein, Sarah Montard, Lea Rohatyn, Esther Senot … Le plus grand nombre de nos militants ont été des orphelins de la déportation, des enfants cachés et les descendants de cette seconde génération qui fut constituée par les enfants ciblés par la Gestapo et par la police de Vichy.
Grâce à Claude Bochurberg qui a consacré à nombre d’entre eux une chronique écrite et/ou radiodiffusée, le parcours de chacun de ceux que nous avons laissés derrière nous est tracé précisément. Nous avons publié les chroniques de Claude dans « Les Témoins et le Témoin » et dans les autres recueils de chroniques des FFDJF. On retrouve malheureusement l’histoire de ces militants dans les deuils qui ont frappé l’association.